Vielmanay

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Vielmanay
Vielmanay
Le mairie de Vielmanay en 2022.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
Intercommunalité Communauté de communes Loire, Vignobles et Nohain
Maire
Mandat
Jean-Marc Baucino
2020-2026
Code postal 58150
Code commune 58307
Démographie
Population
municipale
176 hab. (2021 en diminution de 2,76 % par rapport à 2015)
Densité 8,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 16′ 03″ nord, 3° 06′ 55″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 247 m
Superficie 21,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pouilly-sur-Loire
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vielmanay

Vielmanay est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vielmanay est un village situé à une quinzaine de kilomètres au nord-est de La Charité-sur-Loire (Nièvre). À l'écart des principaux axes de circulation, la commune, qui s'étend sur plus de 21 km2, ne compte que 189 habitants (recensement de 2013).

Outre le bourg, la commune regroupe une petite vingtaine de hameaux et de domaines isolés : Bellevue, la Bonnetterie, les Brunets, Coche, les Hottes, les Jolis, la Jouganderie, le Lignou, la Mie au Roy, Pète-Loup, la Piquerie, les Pivotins, les Princelets, les Revenus, la Ronce, la Sansonnerie, la Tour et Vieux-Moulin.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Premery », sur la commune de Prémery à 19 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 911,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vielmanay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), forêts (34,1 %), prairies (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On relève les formes suivantes du nom de la commune : Mannacense monasterium (VIe siècle), Le Viel-Manay (1526), Mannayum (1535), Le Viel-Mannay (1576) et Manay (1678)[14].

Le nom de la commune viendrait du nom d'homme gaulois Mannus et du suffixe -acum[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire, protohistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Le site de Vielmanay est habité dès la Préhistoire. Le tumulus de la Bonneterie (1,8 km nord-ouest du bourg[16]), fouillé par Robert Octobon de 1970 à 1979 et dont les travaux ont été continués et publiés en 2002 par Adam, Le Blay & Pautrat, a livré au moins cent vingt sépultures dont beaucoup remaniées ; et un riche mobilier couvrant cinq périodes principales : Paléolithique moyen, Néolithique et Hallstatt dans la couche de préparation ; Néolithique, Hallstatt final et début de La Tène ancienne dans la masse tumulaire ; et, accessoirement, gallo-romain et médiéval[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 596 le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut le monastère de Mannay dans le rota de prières du diocèse[18]. Saint Aunaire, décédé en 603 ou 605, lègue la terre de Manay (qui fait partie de la paroisse de Bouzy) à l'église Saint-Étienne d'Auxerre[19].

L'abbaye de Coche est fondée en 1218 par Hervé IV de Donzy († 1222) et sa femme Mahaut de Courtenay (~1188-† ). Elle se trouve au bord de l'Asvins, en lisière des bois de Bellary, non loin du hameau actuel de Coche à 1,5 km au nord-ouest du village[20].

En 1425, Perrinet Gressart, aventurier au service du duc de Bourgogne, se vante d'avoir recouvré les places de Châteauneuf-Val-de-Bargis et de Vieux-Moulin (Vielmanay)[21].

Vers 1560, l'abbaye de Coche est détruite par les huguenots[20].

Vielmanay et l'église Saint-Pierre-aux-Liens.

Le , visite d'André Colbert, 102e évêque d'Auxerre (1676-1704) ; à cette occasion, on apprend que la paroisse compte environ « 488 ames dont il y a environ 300 co[mmun]ians, qu'il y a plusieurs maisons eparses et separéez les unes des autres […]. Il n'y a ny jureurs ny blasphemateurs publics et autres personnes semblables. Il y en a plusieurs parmy ceux qui sont charbonniers, mineurs, chartiers et autres personnes semblables qui jurent par mauvaise habitude. Et sur ce que nous avons sceu qu'autres fois il se faisoit parmy lesd[its] charbonniers et mineurs un serment particulier fort mechant, led[it] s[ieu]r nous a asseuré qu'ils n'estoient plus dans cette pratique. »[22].

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Le , le nouveau cimetière est béni ; il est situé à l'est du chœur de l'église[23].

Le , le curé du village, Augustin Marille, est arrêté puis déporté. Il est soupçonné de sympathies contre-révolutionnaires[24].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1903, une grave épidémie de fièvre typhoïde sévit dans la commune, entraînant de nombreux décès[25].

En 1906[26], le nombre d'habitants de Vielmanay, qui compte 140 maisons, s'élève à 531 individus. La commune compte un instituteur et une institutrice publics, un curé, un garde champêtre, deux cantonniers et deux gardes particuliers. Il y a dix commerçants : 4 épiciers-épicières, 2 boulangers, 1 boucher, 1 cabaretier, 1 aubergiste-buraliste et 1 négociant. Les artisans sont nombreux : 12 couturières, 3 lingères, 2 maréchaux-ferrants, 2 menuisiers, 2 charrons, 1 couvreur, 1 sabotier, 1 meunier et 1 tailleur d’habits. La profession la plus représentée est celle de journalier (58 individus, en grande majorité employés par l’État), suivie par les domestiques (46), les cultivateurs (24), les fermiers (13), les propriétaires-exploitants (7), les cultivateurs-exploitants (6) et les métayers (2). On recense également dans la commune 2 basse-couriers[27], 1 berger, 1 jardinier et 1 cocher. Au total, on relève à Vielmanay 30 professions différentes. On n’y trouve, selon le recensement de 1906, ni médecin ni notaire ni sage-femme. Comme dans bon nombre de communes nivernaises, les familles du village accueillent des enfants assistés de la Seine : ils sont 45 à Vielmanay.

Seigneurs[modifier | modifier le code]

Des rangs de la famille de Lamoignon sont issus bon nombre des seigneurs, en totalité ou en partie, de Vielmanay. Ainsi relève-t-on les noms de Guillaume de Lamoignon (1368), Renaut de Lamoignon (1382), Pierre de Lamoignon (1412), Guyot de Lamoignon (1461), Charles de Lamoignon (1461), Robert de Lamoignon (1472), Étienne de Lamoignon (1549), Hélin de Lamoignon (1555), André de Lamoignon (1555), Blaise de Lamoignon (1561), Edme de Lamoignon (1561), Gilbert de Lamoignon (1634). D'autres noms nous sont parvenus : Roger de Rabutin (1652), François de Huybert (1655), Edme-Ravaud de Vieilbourg (1684), Nicolas Olivier (1707).

Guillaume de Lamoignon, mort vers 1388, est inhumé en compagnie de sa femme, Jeanne de Troussebois, dans l'église de Vielmanay[28].

Armorial[modifier | modifier le code]

Armorial de quelques-uns des seigneurs de Vielmanay :

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Christian Fontaine DVG  
2015 2020 Joël Pot   Agriculteur
2020 En cours Jean-Marc Baucino   artisan
Les données manquantes sont à compléter.

Jean-Marc Baucino

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 176 habitants[Note 3], en diminution de 2,76 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
453523515502550594540611614
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
643652610575616647616587603
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
545531493422392340339308259
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
247229176184190182186183189
2015 2020 2021 - - - - - -
181177176------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Vielmanay et Prémery », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Jean Née de La Rochelle, Pierre Gillet et Jean-François Née de La Rochelle, Mémoires sur le département de la Nièvre..., vol. III, Bourges, J.-B.-C. Souchois, , 404 p. (lire en ligne).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, 1963.
  16. « Vielmanay, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  17. [Adam, Le Blay & Pautrat 2002] Richard Adam, Jean-Claude Le Blay et Yves Pautrat (préf. Christian Peyre), Le tumulus-nécropole de la Bonnetterie à Vielmanay (Nièvre) (synthèse des travaux de Robert Octobon (1970-1979)), Dijon, ARTEHIS Éditions, coll. « Suppléments à la Revue archéologique de l’Est » (no 18), , 116 p., sur books.openedition.org (lire en ligne), présentation.
  18. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 118, 119.
  19. Lebeuf 1743, p. 122, vol. 1.
  20. a b c d et e Abbaye de Coche sur terres-et-seigneurs-en-donziais.fr.
  21. [Charrault 1908/1990] Lucien Charrault, Histoire de Châteauneuf-Val-de-Bargis et de la chartreuse de Bellary, Paris, Res universis, (1re éd. 1908), 182 p. (ISBN 2-87760-410-1, BNF 35462963).
  22. Archives départementales de la Nièvre, 21 G 1.
  23. Registre paroissial de Vielmanay, année 1788.
  24. Philippe Cendron, « Le voyage aux enfers du curé de Vielmanay (1793) », Cercle généalogique et historique Nivernais-Morvan, Blanc-Cassis, n° 141, quatrième trimestre 2015.
  25. Le Progrès de la Côte-d’Or, 16 février 1903.
  26. Recensement de 1906, Archives départementales de la Nièvre, 6 M 307/1.
  27. Personnes chargées des soins de la basse-cour.
  28. Adolphe de Villenaut, Nobiliaire de Nivernois.
  29. Georges de Soultrait, Armorial de l'ancien duché de Nivernais, 1852.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Église Saint-Pierre », notice no PA00113051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Château dit du Vieux Moulin », notice no PA00113050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Alphonse Delaunay, Souvenirs d'Artonne - 1864 -.
  37. Belvédère dont la restauration a été saluée par la remise d'un prix : le Prix régional du patrimoine 2002 (4e prix). Source : Prix régional du patrimoine 2002, article paru dans la revue « Pays de Bourgogne » n° 200 de juillet 2003, pp. 4-5.
  38. Jack Bierre, Les vies extraordinaires de Hervé IV et Mahaut de Courtenay, 1977.
  39. a et b Philippe Cendron, Le prieuré de Cessy-les-Bois, bulletin de la Société scientifique et artistique de Clamecy, 2015 (ISSN 0181-0596).
  40. Archives de la famille Dumangin.
  41. Archives départementales de Paris, 1809, Mariages, V2E/8202.
  42. Michel Larionov, Une Avant-garde explosive, L’Ȃge d’Homme, Lausanne, 1978.
  43. Robert Kanters, À perte de vue : souvenirs, Seuil, 1981.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne).
  • Blanc-Cassis, bulletin du Cercle généalogique et historique Nivernais-Morvan (ISSN 0291-0810) : « Scandale à Vielmanay », no 112 (2008) ; « Le voyage aux enfers du curé de Vielmanay (1793) », no 141 (2015) ; « Le village de Vielmanay en 1685 », no 164 (2022).

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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